Films de l'année 2019 : Lee Marshall

Marshall, basé en Italie, a rejointÉcranen 1996. Il écrit également sur l'art, les voyages et le design pour des publications britanniques, américaines et italiennes.

Top cinq

1.Parasite(Réalisateur Bong Joon Ho)

Classique à part entière pour tous les âges, la parabole de classe savoureuse et sardonique de Bong a mérité la Palme d'Or à Cannes et a prouvé, en diffusion internationale, que les grands films peuvent surmonter la barrière de la langue. L’un de ses nombreux plaisirs était la façon dont les deux maisons au centre de l’action – l’une élégante et chic, l’autre encombrée et prolétarienne – s’intègrent au drame.Contact:CJ Divertissement
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2.Le souvenir(Réalisateur Joanna Hogg)

Les relations sont difficiles, tout comme l’anglais. Hogg a fait carrière en explorant l'interface des deux, et jamais avec autant de perspicacité que dans cette histoire délicate et autobiographique du premier amour toxique d'un jeune cinéaste.Contact:Photos du protagoniste
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3.Histoire de mariage(Réalisateur Noah Baumbach)

Pas depuis celui d'Ingmar BergmanScènes d'un mariageLa rupture d'un couple a-t-elle été retracée avec une telle finesse dramatique et des détails médico-légaux. Le film de Baumbach intègre délibérément le point de vue masculin dans son tissu.Contact:Netflix
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4.La vie invisible d'Euridice Gusmao(Réalisation Karim Aïnouz)

Tout dans ce mélodrame brésilien déchirant est finement jugé, du travail de caméra d'Hélène Louvart qui affirme la vie à la résilience et au pathétique des performances principales de Carol Duarte et Julia Stockler.Contact:La fabrique d'allumettes
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5.Le phare(Réalisateur Robert Eggers)

À la fois hommage à l'expressionnisme en noir et blanc et drame contemporain convaincant, la suite d'Eggers àLa sorcièreest un scrimshaw cinématographique, gravé dans l'esprit un duel masculin lent entre deux gardiens de phare.Contact:Fonctionnalités de mise au point
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Meilleur documentaire

Pays de miel(Réalisateurs Ljubomir Stefanov et Tamara Kotevska)

À la fois fable rurale et récit édifiant écologique, ce film macédonien sur une cueilleuse de miel sauvage qui vit seule avec sa mère âgée jusqu'à ce qu'une famille d'arrivées malheureuses détruise l'équilibre naturel fragile de son monde, est un exemple éclatant de patience et de hasard qui peuvent créer de l’or documentaire.Contact:Distribution Deckert
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Joyau négligé

La Llorona(Réalisateur Jayro Bustamante)

Le deuxième film de Bustamante à sortir en 2019 — après le drame de la BerlinaleTremblements– a atterri à Venise, mais il a été renvoyé dans la barre latérale non officielle des Venice Days alors qu'il aurait dû être là-haut en compétition. Il est rare qu'une horreur surnaturelle soit accompagnée d'un j'accuse politique passionné, mais le scénariste/réalisateur guatémaltèque réussit l'exploit avec brio dans ce long métrage au tournage ravissant.Contact:Divertissement d’usine de cinéma
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