Hillary avec les beaux cheveux.Photo : Sean Zanni/Patrick McMullan via Getty Images

Oh, oh, oh !Hilaria Baldwin, récemment révélée être née Hillary Hayward-Thomas, pense qu'elle n'a rien fait de mal en laissant entendre qu'elle a un héritage espagnol au cours de la dernière décennie. Dans une nouvelle interview avec le New YorkFois, l'épouse de l'acteur Alec Baldwin nie s'être approprié culturellement une blancheur plus épicée. « Je ne fais rien de mal, et je pense qu'il y a une différence entre se cacher et créer une frontière », tente-t-elle d'expliquer, attribuant la confusion aux « gens qui la dénaturent ».

Baldwin dit que ses prétentions à la culture espagnole viennent du « temps » qu'elle a passé en Espagne lorsqu'elle était enfant, affirmant que sa famille se rendait souvent dans des villes comme Madrid, Séville et Valence au moins une fois par an. «Je pense que ce serait exaspérant de respecter un calendrier aussi serré», a-t-elle déclaré. «Vous savez, parfois, l'école était impliquée. Parfois c'était les vacances. C'était un tel mélange, un méli-mélo, est-ce le bon mot ? Comme un mélange de différentes choses. Baldwin était dans les pages deLatineetBonjour!,se présentant comme une immigrante espagnole, à une époque où les vrais immigrants sont cruellement détenus et expulsés. (AuFois,Baldwin prétend qu'elle ne savait pasBonjour!, qui a apposéune correction approfondieà son entretien de 2018 avec elle, la signalait à tort comme étant espagnole, même si elle et son marije l'ai dit autant.)

De retour à Boston, elle dit que ses parents, qui vivent maintenant à Majorque, « ont amené l'Espagne chez nous » grâce à la nourriture et aux visites à des amis du pays. « Qui peut dire ce que vous êtes autorisé à absorber et à ne pas absorber en grandissant ? » elle s'est défendue. Bien sûr, ce sont de beaux souvenirs d'enfance, mais il est exagéré de suggérer que ces choses permettent à Hilaria Baldwin d'exagérer un accent, de revendiquer l'Espagne comme son pays ou de se présenter comme une experte, ce qu'elle fait depuis plus de dix ans. (Cinq d'entre euxAnnée Trumps, en plus !) Au moins son camarade de « troisième » culture, Timothée Chalamet – qui passait ses étésen France, parle français et possèdece nom- sait qu'il ne faut pas prétendre qu'il est autre chose qu'unNew-Yorkais avant tout.

Hilaria Baldwin nie les accusations d'appropriation culturelle