Alors que James Corden continue de tomber dans l'effet Streisand de sa réputation dans les restaurants, il a finalement décidé de prendre les choses en main. S'exprimant depuis son tribunal d'origine,Cordenaborde sa guerre des restaurants avec Balthazar de New York dans son monologue surLe spectacle tardif, reprenant apparemment sa déclaration initiale selon laquelle il ne l'avait pas fait"faire quelque chose de mal à n'importe quel niveau."Il est facile de se défendre dans une salle où vous êtes le patron de tout le monde, mais après quelques jours (et éventuellement quelques réunions de relations publiques), Corden s'est excusé une fois de plus pour son « commentaire grossier » auprès du serveur. Il a expliqué qu'on lui avait servi un plat contenant quelque chose auquel sa femme était allergique, c'est pourquoi il a réagi ainsi. «Je n'ai pas crié ni crié. Je ne me suis pas levé de mon siège. Je n’ai insulté personne et n’ai utilisé aucun langage désobligeant. Je me promenais en pensant que je n'avais rien fait de mal, n'est-ce pas ? Mais la vérité est que je l'ai fait. J'ai fait un commentaire grossier, et c'était faux », a monologueé Corden. «C'était un commentaire inutile. C'était disgracieux envers le serveur. Nous savons tous ce qui arrivefemme les gars, mais néanmoins, Corden semblait avoir accepté la responsabilité de ses actes et a proposé de s'excuser en personne auprès du restaurant.

Il évoque à un moment donné du monologue son caractère britannique (« Chaque fois que ce genre de moments se présente à moi, j'aime adopter une attitude assez britannique :Ne vous plaignez jamais, n'expliquez jamais. C'est vraiment ma devise »), mais, hélas, nous sommes aux États-Unis, où nous nous plaignons, expliquons et interpellons publiquement. Keith McNally de Balthazar donne toujours des mises à jour quotidiennes sur la situation de Corden, commeles travailleurs des services se mobilisent désormais pour être à ses côtés, alors attendez-vous à une mise à jour de sa part bientôt.

James Corden aborde le drame de Balthazar surSpectacle tardif