Depuis ce matin,Spielberg-défense,En haut-panoramiqueNew YorkPresseArmond White, à contre-courant, est l'un des rares critiques à détenirArrondissement 9de retour d'une note parfaite de 100 pour cent surTomates pourries— un fait hilarant qui a jusqu'à présent inspiré 542commentaires en colèreet une campagne visant à faire retirer White des listes de RT. Alors hier soir, sur son excellent blog, Roger Ebert, quiaiméArrondissement 9, intervint avec un ton typiquedéfense réfléchie des Blancs:

Oui, White est en désaccord avec la plupart des gens la plupart du temps, et avec certaines personnes tout le temps. Pourquoi est-ce une faute ? C'est un critique intelligent et un écrivain passionné, et il connaît très bien le cinéma, la danse et bien d'autres choses. Son opinion est souvent précieuse car elle se situe en dehors du courant dominant. Il travaille pour le New York Press, un journal alternatif, et pourquoi un tel journal devrait-il proposer une critique conventionnelle ?


Puis, vraisemblablement, il a vu la critique de White surG.I. Joe.

Ce matin, Ebert a ajouté ceci en haut de son message :

Jeudi soir, j'ai posté dans [sic] entrée pour défendre la critique d'Armond White surArrondissement 9. Du jour au lendemain, j'ai reçu des commentaires de lecteurs m'amenant à repenser cette entrée, en particulier celle-ci.lien qui fait mouchefourni par Wes Lawson. J'ai réalisé que je devais retirer ma défense globale des Blancs. Je ne connaissais pas assez son travail. Je trouve déconcertant qu'un critique puisse faire l'élogeTransformateurs 2mais pasSynecdoque, New York. OuCourse à la mortmais pasIl y aura du sang. Je suis obligé de conclure que White est, comme on l'accuse, un troll. Un homme intelligent et connaisseur, mais un troll. Ma défense de son examen spécifique deArrondissement 9est toujours debout.


Tu vois, Armond ? N’importe qui peut changer d’avis ! Peut-être donnerMur-Eun autre plan en DVD ?

Pas pour défendre Armond White[Roger Ebert/Chicago Sun-Times]
En rapport: Pas de baiser, baiser, tout bang bang[NYM]

Roger Ebert retire sa défense du « Troll » Armond White